Ce sera finalement lundi 10 mai à 11h00 que sera donné le départ de la seconde étape du Mini Pavois 2010 entre Gijon (Asturies) et La Rochelle (Charente-Maritime). Un report du départ de 23 heures dû à une dépression orageuse se déplaçant lentement sur le Golfe de Gascogne. Cette dépression pourrait occasionner des grains violents de 45 nœuds dans la nuit de dimanche à lundi. Pour des raisons évidentes de sécurité la Direction de Course et l’organisateur GPO ont décidé donc de reporter le départ de cette seconde manche de 465 milles. Les premiers pourraient être attendus dans la nuit du jeudi 13 au vendredi 14 mai.
samedi 8 mai 2010
Météo Consult : Dépression...
Samedi 08 mai
Avec l’arrivée d’un autre système dépressionnaire en formation entre les Açores et le Portugal, le vent s’organise et se renforce au secteur est-nord-est en cours d’après-midi.
Le temps se dégrade avec de faibles précipitations.
Dans la nuit une dépression, liée à ce système, se creuse à 996 hPa en remontant vers le cap Finisterre puis vers Gijon en seconde partie de nuit.
Dimanche 09 mai
La dépression s’éloigne rapidement en matinée pour se diriger vers le milieu du golfe Gascogne. Elle remonte légèrement vers le nord l’après-midi, et génère en marge des conditions très perturbées.
Pour le départ, les conditions seront dépressionnaires avec un vent d’ouest-sud-ouest force 3-4 qui tournera au secteur ouest. Le temps pluvieux limitera la visibilité.
Avec la remontée de la dépression l’après-midi, le vent se renforcera à l’ouest puis au nord-ouest force 4-5 avec un risque d’atteindre force 5-6 dans une mer devenant agitée. En soirée et nuit il continuera de se renforcer au secteur ouest-nord-ouest force 6, avec un risque d’atteindre le grand frais et des rafales à 35 nœuds.
Ce type de situation très instable a une fiabilité limitée en raison de l’incertitude sur l’évolution précise de la dépression. Néanmoins, elle présente un risque de développement de conditions très dégradées.
Tendance ultérieure
La dépression stagnera lundi au nord du golfe de Gascogne avant de s’éloigner mardi vers la France. Les conditions très dépressionnaires et instables lundi feront place à un flux de nord en baisse mardi. Ensuite pour mercredi, les pressions devraient être à la hausse et favoriser une nette amélioration des conditions générales.
Avec l’arrivée d’un autre système dépressionnaire en formation entre les Açores et le Portugal, le vent s’organise et se renforce au secteur est-nord-est en cours d’après-midi.
Le temps se dégrade avec de faibles précipitations.
Dans la nuit une dépression, liée à ce système, se creuse à 996 hPa en remontant vers le cap Finisterre puis vers Gijon en seconde partie de nuit.
Dimanche 09 mai
La dépression s’éloigne rapidement en matinée pour se diriger vers le milieu du golfe Gascogne. Elle remonte légèrement vers le nord l’après-midi, et génère en marge des conditions très perturbées.
Pour le départ, les conditions seront dépressionnaires avec un vent d’ouest-sud-ouest force 3-4 qui tournera au secteur ouest. Le temps pluvieux limitera la visibilité.
Avec la remontée de la dépression l’après-midi, le vent se renforcera à l’ouest puis au nord-ouest force 4-5 avec un risque d’atteindre force 5-6 dans une mer devenant agitée. En soirée et nuit il continuera de se renforcer au secteur ouest-nord-ouest force 6, avec un risque d’atteindre le grand frais et des rafales à 35 nœuds.
Ce type de situation très instable a une fiabilité limitée en raison de l’incertitude sur l’évolution précise de la dépression. Néanmoins, elle présente un risque de développement de conditions très dégradées.
Tendance ultérieure
La dépression stagnera lundi au nord du golfe de Gascogne avant de s’éloigner mardi vers la France. Les conditions très dépressionnaires et instables lundi feront place à un flux de nord en baisse mardi. Ensuite pour mercredi, les pressions devraient être à la hausse et favoriser une nette amélioration des conditions générales.
Parcours B choisi...
Ce sera le parcours B qui sera lancé demain 12 heures... 465 milles validés 500 milles de navigation qui emmèneront les concurrents vers la bouée marque d'eaux saines P.A à contourner et à laisser à bâbord (46°05.6N - 01°42.4W), l'Ile d'Yeu à laisser à bâbord, la bouée Cardinale Sud La Sablaire à laisser à tribord (46°43,7 - 02°19,4W), Belle Ile à laisser à bâbord, Phare des Birvideaux à contourner et à laisser à tribord (47°29.2N - 03°17.4W), Belle Ile à laisser à tribord, bouée marque d'eaux saines P.A à laisser à bâbord, Phare de Chanchardon à laisser à bâbord, Tour d'Antioche à laisser à tribord, ligne d'arrivée située entre la bouée des Minimes à laisser à bâbord et une bouée tétraédrique orange à laisser à tribord.
vendredi 7 mai 2010
Ils en parlent...
Lucas Montagne (618 - Ong Conseil) : "On a eu des conditions musclées surtout au départ et juste après... Mais c'était le pied sur ce bateau là ! Le bateau donne des ailes, il donne envie de se dépasser et il va vite. Il faut tout faire dans l'ordre, c'est sûr... J'ai plutôt lever le pied même. Il faut y aller tout en douceur, il est très sensible et j'aime cela. Cela correspond bien à ma façon de naviguer. Si la première partie s'est bien passée, j'ai mal négocié la transition à l'arrivée. Mais bon, on apprend toujours ! C'était ma première course en solitaire sur ce bateau et au final, c'est plutôt pas mal, je m'y sens vraiment bien, je suis pleinement content !"
Etienne David (679 - Team Work) : "Je suis déçu en bien... C'est clair que j'ai des tas de trucs à apprendre. Cela change vraiment de ce que je connaissais ces bateaux ! Ils sont furieux devant... J'ai fait des tas de trucs bizarre mais bon, j'apprends... et je sais qu'il y a des choses que je ne ferai plus ! Mais c'était bien quand même... Une bien belle expérience !".
Henri Patou ( 551 - Ecartip) : "Cela a été sportif... Il y a eu des moments dans la nuit noire dont je me rappellerais ! Sous pilote, accroché à la bastaque, avec des surfs de folie... Je n'en menais pas large, j'avoue. Mais bon, c'est extra ! Cela restera un grand moment... J'ai eu aussi mon lot de problèmes avec 300 litres d'eau dans l'habitacle. C'est par le puit de quille que l'eau est remontée. Et je ne l'avais pas vu... C'est à un moment, j'ai passé la tête à l'intérieur et il y a avait de l'eau jusqu'à la moitié des batteries ! Tout était trempé à l'intérieur. Tout y est passé, mes papiers, ceux du bateau..."
Ryan est arrivé...
Ryan Finn (252 - Myrna Minkoff) est bien arrivé. Tout le monde est à bord port...
On en discute et... discutera...
Quelle route fallait-il prendre ?... Là est bien le sujet du jour ! Normal direz-vous lorsque l'on regarde les trajectoires et ensuite, les heures d'arrivée. A ce petit jeu, pas évident de sortir une vérité, celle-ci étant bien dépendante du timing d'arrivée sur les derniers milles. Car si la route la plus courte a semblé être la meilleure sur la première partie du parcours, ambiance pied au plancher sous code 5 ou petit spi, c'est ensuite que tout s'est jouer. Fallait-il glisser sous la route comme beaucoup ont fait emporté par le flux de nord appuyé, grisé par les milles avalés ? Privilégier l'ouest pour en avoir sous la pédale à l'approche de Gijon avant l'entrée dans la molle ? Tenter un bord de racadrage douloureux en tournant presque le dos à la route à l'approche de la cote ?... Pas facile de sortir une seule et unique vérité. Il est clair que l'approche de Gijon et de la cote espagnole est restée fidèle à elle-même : compliquée ! Nico Boidevezi, 2e proto, longtemps en tête passe deux heures à tirer des bords, puni d'avoir glisser sous la route. Jorg Riechers, beau vainqueur de cette première étape, fait un petit bord de recadrage en milieu de plan d'eau, à l'image de Xavier Macaire, vainqueur en série. Un petit bord douloureux quand on voit le cap suivi mais... gagnant quoi qu'on en dise. Autre exemple, Jonas Gerckens, 3e série, descend 30 milles sous l'arrivée et glisse le long de la cote pour terminer bien placé. Allez comprendre... En fait, cette approche de Gijon était bien différente en fonction de l'heure d'arrivée sur zone... En résumé, si chacun peut y aller de sa version, c'est l'approche de la cote espagnole associée à cette molle programmée ont eu le dernier mot !
Problèmes à géométrie variable...
Si beaucoup se reposent, cela discute aussi beaucoup et s'active sur les bateaux... Si la remise des prix à Gijon est ce soir, le départ est après-demain et il ne faut pas perdre de temps pour remettre les bateaux en état. Chacun y va de ses bobos, aussi bien physiques avec des séances chez le kiné, que techniques avec des avaries de pilote automatiques, des déchirures de voiles, de l'eau partout et de l'humidité à tous les étages. Avarie plus importante pour Paul Marette sur Région Nord Pas de Calais qui doit réparer son axe de barre (cf. photo). Trouver un voilier, un kiné, un hôtel, cela court pas mal... Bien connu de tous, le Habana (ndr, inutile de préciser ce que c'est, beaucoup savent de quoi l'on parle !) n'a pas connu l'effervescence hier soir...
Bienvenue à Gijon !
Située dans le Golfe de Gascogne, Gijón présente une combinaison attrayante d'ambiance côtière, de patrimoine architectural et d'urbanisme moderne et son port de plaisance évoque une histoire profondément liée à la mer.Sa situation, en pleine Costa Verde et à mi-chemin entre l'est et l'ouest asturien, en fait une base parfaite pour parcourir tant le littoral que l'arrière-pays. La côte orientale invite à la promenade sur ses immenses plages depuis des localités historiques comme Ribadesella et Llanes, et des ports de pêche tels que Lastres ou Tazones.
L'intérieur des terres détient l'autre versant de la richesse naturelle des Asturies, la montagne. Le Parc National de Picos de Europa se trouve en effet dans cette région, où les lacs, les bois et les sommets (qui dépassent les 2000 mètres d'altitude) servent de cadre à de nombreux hameaux. Cangas de Onís, première capitale du Royaume des Asturies, et le Parc Naturel de Redes comptent parmi les agréments de la partie orientale. Les constructions importantes de la ville trouvent leurs origines dans son passé de ville romaine, ou bien au moment de sa croissance à partir du XVIe siècle quand les Rois Catholiques décidèrent d'y implanter un port, ou encore dans l'élan donné à ses terres au siècle des Lumières par, notamment, Gaspar Melchor de Jovellanos.
La vieille ville de Gijón est formée par la colline de Santa Catalina et le quartier de pêcheurs de Cimadevilla. Ses premiers habitants élurent domicile sur cette colline et cet emplacement a été choisi à notre époque pour ancrer l'«Elogio del Horizonte», oeuvre monumentale du sculpteur basque Eduardo Chillida. De cet endroit, on savoure une vue imprenable sur le Golfe de Gascogne, la Costa Verde et Cimadevilla. Entre la plage de San Lorenzo et le port de plaisance, ses rues concentrent vestiges romains, manoirs nobles et maisons de pêcheurs.
Sur la Plaza Mayor, on peut admirer le bâtiment de l'Hôtel de Ville (XIXe s.), tandis que la plaza de Jovellanos abrite le Musée de Gijón Maison Natale de Jovellanos, politicien et écrivain de l'Illustration né dans cette ville.
Sur la plaza del Marqués, en direction du port de plaisance, se dresse le palais de Revillagigedo et la collégiale de San Juan Bautista, actuellement consacrés à des expositions d'art moderne. Le Musée Barloja, situé dans la calle de La Trinidad, s'incline pour la peinture et la sculpture contemporaines.
La ville moderne réserve un agencement aux multiples places et espaces verts, comme les Jardins del Náutico, de Begoña ou de la Reina. Cela vaut la peine de flâner dans les commerces de la calle Corrida, les anciens cafés et cidreries du Paseo Begoña ou dans la calle Uría y Menéndez Valdés avant d'atteindre le Théâtre Jovellanos.
À l'autre extrême de la plage de San Lorenzo se trouve l'estuaire du Piles, rivière qui sépare le Parque Inglés du Parque de Isabel la Católica. Ce milieu privilégié est l'hôte du Parador de Tourisme de Gijón, aménagé à l'intérieur d'un moulin centenaire. Entouré de jardins et de bassins, son restaurant offre l'opportunité de déguster la gastronomie locale. Outre la «fabada» (haricots au lard), le plat vedette, la «caldereta» (soupe) de fruits de mer, le «pote» (ragoût) asturien ou encore la «merluza con cocochas» (dos de colin) figurent parmi les suggestions du chef. Pour arroser le tout, rien de tel qu'un peu de cidre (dans les Asturies, cette boisson légère à base de jus de pomme fermenté n'est pas gazéifiée).
Paz Fernandez Felgueroso, Maire de Gijon : "Il ne suffit que de jeter un nouveau regard pour la redécouvrir, pleine de passé et d'histoire, riche en culture, détendue en plien air, excitante devant la mer, enthousiaste face au futur et, surtout, diverse et accueillante".
L'intérieur des terres détient l'autre versant de la richesse naturelle des Asturies, la montagne. Le Parc National de Picos de Europa se trouve en effet dans cette région, où les lacs, les bois et les sommets (qui dépassent les 2000 mètres d'altitude) servent de cadre à de nombreux hameaux. Cangas de Onís, première capitale du Royaume des Asturies, et le Parc Naturel de Redes comptent parmi les agréments de la partie orientale. Les constructions importantes de la ville trouvent leurs origines dans son passé de ville romaine, ou bien au moment de sa croissance à partir du XVIe siècle quand les Rois Catholiques décidèrent d'y implanter un port, ou encore dans l'élan donné à ses terres au siècle des Lumières par, notamment, Gaspar Melchor de Jovellanos.
La vieille ville de Gijón est formée par la colline de Santa Catalina et le quartier de pêcheurs de Cimadevilla. Ses premiers habitants élurent domicile sur cette colline et cet emplacement a été choisi à notre époque pour ancrer l'«Elogio del Horizonte», oeuvre monumentale du sculpteur basque Eduardo Chillida. De cet endroit, on savoure une vue imprenable sur le Golfe de Gascogne, la Costa Verde et Cimadevilla. Entre la plage de San Lorenzo et le port de plaisance, ses rues concentrent vestiges romains, manoirs nobles et maisons de pêcheurs.
Sur la Plaza Mayor, on peut admirer le bâtiment de l'Hôtel de Ville (XIXe s.), tandis que la plaza de Jovellanos abrite le Musée de Gijón Maison Natale de Jovellanos, politicien et écrivain de l'Illustration né dans cette ville.
Sur la plaza del Marqués, en direction du port de plaisance, se dresse le palais de Revillagigedo et la collégiale de San Juan Bautista, actuellement consacrés à des expositions d'art moderne. Le Musée Barloja, situé dans la calle de La Trinidad, s'incline pour la peinture et la sculpture contemporaines.
La ville moderne réserve un agencement aux multiples places et espaces verts, comme les Jardins del Náutico, de Begoña ou de la Reina. Cela vaut la peine de flâner dans les commerces de la calle Corrida, les anciens cafés et cidreries du Paseo Begoña ou dans la calle Uría y Menéndez Valdés avant d'atteindre le Théâtre Jovellanos.
À l'autre extrême de la plage de San Lorenzo se trouve l'estuaire du Piles, rivière qui sépare le Parque Inglés du Parque de Isabel la Católica. Ce milieu privilégié est l'hôte du Parador de Tourisme de Gijón, aménagé à l'intérieur d'un moulin centenaire. Entouré de jardins et de bassins, son restaurant offre l'opportunité de déguster la gastronomie locale. Outre la «fabada» (haricots au lard), le plat vedette, la «caldereta» (soupe) de fruits de mer, le «pote» (ragoût) asturien ou encore la «merluza con cocochas» (dos de colin) figurent parmi les suggestions du chef. Pour arroser le tout, rien de tel qu'un peu de cidre (dans les Asturies, cette boisson légère à base de jus de pomme fermenté n'est pas gazéifiée).
Paz Fernandez Felgueroso, Maire de Gijon : "Il ne suffit que de jeter un nouveau regard pour la redécouvrir, pleine de passé et d'histoire, riche en culture, détendue en plien air, excitante devant la mer, enthousiaste face au futur et, surtout, diverse et accueillante".
Plus que Ryan Finn en mer...
Fabienne Robin (603 - Plume d'ange) est à bon port. Elle est arrivée à Gijon à 08h56 et boucle ainsi le classement Série. Côté protos, Alban Astier (785 - Seanergy) est arrivé à 8h31. Il ne reste plus que Ryan Finn en mer qui devrait être à Gijon vers ce midi.
Les arrivées de la fin de nuit...
Comme attendu, ils ont été nombreux à arriver en fin de nuit. Sont arrivés côté Série Nacho Orti (488 - Nacho Orti busca sponsor) à 01h33, François Denis (518 - Passion d'avril) 01h53, Pierre Cizeau (746 - Colibri) à 2h19), Jean-Marc Allaire (464 - Baker Tilly-AG2R La Mondiale) à 02h41et Andy Abel (587 - Pepen) à 02h44 puis Tolga Pamir (737 - Yakamoz), Benoit Reynis (452 - Al Dente), Emmanuel Renaud 446 - Koati) et Vincent Pilato (481 - Mcom).
Côté protos : Henrik Masekowitz sur le 625 (Caribou) à 2h, puis Milan Kolacek (759 - Follow Me), Pierre Denjean (36 - Oufti) et Lucas Schroder (509 - Banzai).
Côté protos : Henrik Masekowitz sur le 625 (Caribou) à 2h, puis Milan Kolacek (759 - Follow Me), Pierre Denjean (36 - Oufti) et Lucas Schroder (509 - Banzai).
Une fin de nuit "agitée"...
Ils devraient êtrre nombreux à arriver en cette fin de nuit... On attend sur Gijon en série François Denis, Nacho Orti, Andy Abel, Pierre Cizeau, Jean-Marc Allaire...Côté protos, devrait arriver Henrik Masekowitz, Lucas Schroder et encore Pierre Denjean...
jeudi 6 mai 2010
Arrivées de série... en série
Jean-Marie Oger (774 - JMO Sailing), Yann Le Pautremat (483 - As de coeur - Mécénat Chirurgie Cardiaque), Marc Vertes (733 - Les amis de la terre Kokopelli), Brendan Archin (757 - Association La Touline) et Conrad Colman (480 - Colman Course au large) sont arrivés collés, presque serrés... Il est presque minuit et le vent est léger.
Les réactions des trois premiers bateaux de série...
Xavier Macaire (472 – Starter) : « Je suis vraiment très content. C’était un peu plus dur que ce que j’imaginais. Je savais qu’il y allait avoir du vent et que l’on allait être trempé mais là, j’ai été encore plus surpris par le vent et par l’humidité. Il fallait vraiment rester accroché à la barre dans la brise car mon bateau était en mode sous-marin… J’ai même été obligé de mettre ma combinaison de survie (ndr, TPS) tellement j’étais trempé. En ciré, cela ne le faisait plus du tout ! J’ai eu 32/33 nœuds et j’étais sous Code 5, grand voile 1 ris… Ensuite j’ai fait toutes les voiles, environ 10/12 changements en 24 heures… C’était vraiment fatiguant. J’ai juste pu dormir un peu ce matin environ 3 heures. Je remercie mon bateau. Il plonge dans les vagues à 15/17 nœuds pendant 30 secondes et il ressort, nickel… J’avais vraiment confiance en lui, c’était top ! Et puis la magie de l’arrivée comme toujours, car je ne savais pas que j’étais premier. Je ne l’ai découvert qu’ici ! C’est vraiment stressant… Mais c’est génial aussi ! »
Amaury François (697 – www.amauryfrancois.com) : « Je suis super content… On s’est bien arraché cette nuit. Je pensais être plus loin que cela mais à l’arrivée je suis deux, c’est pas mal ! J’aime bien la brise, cela était vraiment chouette. Maintenant à la fin, je n’étais pas forcément du bon côté. Ce qui fait que la fin a été plus laborieuse… Mais je crois que Xavier s’est fait un peu avoir aussi… Cette nuit, j’ai pas mal dormi et fais les changements de voile quant il fallait. Je suis resté trois heures sans rien devant, sans genaker, ni spi et puis ensuite c’est reparti. C’était sympa ! J’ai fait un 16,2 nœuds sous code 5 et grand-voile 2 ris. Mais il aime bien le Pogo 2 qu’on lui tire dessus ! J’ai juste eu un problème de pilote avec de l’huile partout… Je me suis cassé la figure au moins une douzaine de fois ! Sympa… J’espère maintenant qu’il y aura de l’air au retour ! »
Jonas Gerckens (473 – PragmaWork) : « Super content car c’est mon premier podium en série ! Je débute en Pogo 2 et c’est sympa. De supers sensations dans la première partie… Ensuite, c’était un peu plus stressant à cause de mes choix tactiques, mais cela a payé… Mais c’est vraiment super ! De bons surfs endiablés comme on les aime en mini, avec une mer qui allait bien. J’aime bien aller à 14/15 nœuds dans la nuit noire sans savoir trop où l’on va ! Moi j’aime… De la tactique à la fin pour aller chercher le podium, c’est cool. J’ai pu me reposer deux fois 20 minutes cette nuit et ensuite au près le long des cotes espagnoles, j’ai refait deux séances de 20 minutes… Super pour finir dans le petit temps ! ».
Amaury François (697 – www.amauryfrancois.com) : « Je suis super content… On s’est bien arraché cette nuit. Je pensais être plus loin que cela mais à l’arrivée je suis deux, c’est pas mal ! J’aime bien la brise, cela était vraiment chouette. Maintenant à la fin, je n’étais pas forcément du bon côté. Ce qui fait que la fin a été plus laborieuse… Mais je crois que Xavier s’est fait un peu avoir aussi… Cette nuit, j’ai pas mal dormi et fais les changements de voile quant il fallait. Je suis resté trois heures sans rien devant, sans genaker, ni spi et puis ensuite c’est reparti. C’était sympa ! J’ai fait un 16,2 nœuds sous code 5 et grand-voile 2 ris. Mais il aime bien le Pogo 2 qu’on lui tire dessus ! J’ai juste eu un problème de pilote avec de l’huile partout… Je me suis cassé la figure au moins une douzaine de fois ! Sympa… J’espère maintenant qu’il y aura de l’air au retour ! »
Jonas Gerckens (473 – PragmaWork) : « Super content car c’est mon premier podium en série ! Je débute en Pogo 2 et c’est sympa. De supers sensations dans la première partie… Ensuite, c’était un peu plus stressant à cause de mes choix tactiques, mais cela a payé… Mais c’est vraiment super ! De bons surfs endiablés comme on les aime en mini, avec une mer qui allait bien. J’aime bien aller à 14/15 nœuds dans la nuit noire sans savoir trop où l’on va ! Moi j’aime… De la tactique à la fin pour aller chercher le podium, c’est cool. J’ai pu me reposer deux fois 20 minutes cette nuit et ensuite au près le long des cotes espagnoles, j’ai refait deux séances de 20 minutes… Super pour finir dans le petit temps ! ».
Robert Rosen Jacobson et Benoit Laurière, 4e et 5e Série
Les arrivées se succèdent... Robert Rosen Jacobson (602 - Ned602) est 4e de cette première manche et Benoit Laurière (539 - Kalonig 2) est 5e. Tous les deux visiblement ravis d'en avoir terminé... Le soir tombe sur Gijon et le vent... aussi !
Podium série complété par Amaury François et Jonas Gerckens
Il est là le podium série de cette première étape avec Amaury François sur www.amauryfrancois.com et Jonas Gerckens sur PramaWork. Le temps de course pour Amaury est de 1 jour, 08 heures, 32 minutes et 50 secondes. Pour Jonas, c'est 1 jour 09 heures 01 minute et 10 secondes.
2e série : Amaury François !
Belle performance pour Amaury François sur www.amauryfrancois.com qui termine 2e série derrière Xavier Macaire. Beau podium pour Amaury !
Arrivée de Paul Marette
Arrivée de Paul Marette sur Région Nord Pas de Calais. Il est 7e prototype au classement de cette première étape.
Arrivée de Henri Patou
Henri Patou sur le 551, Ecartip, est arrivé en 6e position du classement prototypes à Gijon.
Etienne David, 5e proto à Gijon
Etienne David sur Team Work (679) est arrivé 5e prototype à Gijon. Son temps de course est 1 jour 7 heures 35 minutes et 17 secondes.
Starter (Xavier Macaire), premier Série à Gijon.
Xavier Macaire sur Starter (472) a franchi la ligne d'arrivée de la 1ère étape. Il monte sur la 1ère marche du podium des Série.
ONG CONSEIL, le No 618 de Lucas Montagne : 4ème à Gijon
Lucas Montagne est donc est le 4ème prototype à arriver à Gijon. Son temps de course est 1 jour 6 heures 29 minutes et 34 secondes.
Les réactions à chaud...
Jorg Riechers : « Je suis vraiment content de gagner cette première manche. C’est toujours bien de gagner une manche sur le Mini Pavois ! C’était vraiment bien musclé dans l’après-midi dans le Golfe de Gascogne. J’ai eu jusqu’à 30/32 nœuds. Au début, j’étais sous code 5 et ensuite genaker, mais c’était limite… Je n’ai presque pas dormi, il a fallu que je barre le bateau tout le temps. Les dernières deux heures ont été très difficiles avec la pétole à l’approche de Gijon… Après la baston et ensuite la pétole, c’est dur ! 20 minutes après la bouée de dégagement j’ai eu un problème de safran et j’ai du réparer les deux barres de liaison des safrans avec des bouts qui ont cassé… Mais je suis content, cela a tenu ! »
Nicolas Boidevezi : « Je suis cassé en deux… C’était extrême cette première étape ! Cela a commencé difficilement, j’ai perdu ma drisse de capelage dans le mât après la bouée de dégagement. Cela m’a bien énervé ! J’avais ma drisse de tête heureusement… Nous avions un flux de nord assez soutenu assez difficile en sortant des pertuis. Il fallait avoir le cœur bien accroché ! Cela a été un long bord de folie… C’est monté jusqu’à 28 nœuds et je pense qu’il y en a qui n’ont pas porté de toile devant à certains moments. J’ai gardé le pied au plancher jusqu’au changement de route. Je suis resté sous petit spi tout le temps. J’avais la confiance des expériences de l’année dernière, donc je suis resté le pied dedans. Par contre, je me suis retrouvé sous la route et je pensais être en avance sur la météo… Mais non ! Du coup, je suis arrivé avec de l’ouest et j’ai dû tirer des bords depuis 8 heures ce matin sous la falaise… Un peu dur pour le moral, mais je suis content. Content parce que ce n’était pas super bien parti et puis le début de saison a été dur… Je n’étais pas trop dedans. Là, c’est bien parti ! »
Thomas Normand : « je suis hyper content car c’était la deuxième course du bateau. L’idée c’était de préserver le bateau et puis là, je suis sur le podium, c’est top ! En jouant soft dans les grosses conditions, c’est passé mieux que ce que je ne pensais. Belle récompense ! C’était chaud pendant les 5 premières heures… C’est simple, je ne suis jamais allé aussi vite en mini ! J’étais entre 14 et 17 nœuds… C’était ceinture et bretelles ! (rires). C’était sportif mais, avec le recul, c’est une superbe expérience. J’ai même pu dormir un peu et du coup être serein sur la transition météo. Du coup, j’étais bien sur le passage de la molle. C’est vraiment top ! ».
Nicolas Boidevezi : « Je suis cassé en deux… C’était extrême cette première étape ! Cela a commencé difficilement, j’ai perdu ma drisse de capelage dans le mât après la bouée de dégagement. Cela m’a bien énervé ! J’avais ma drisse de tête heureusement… Nous avions un flux de nord assez soutenu assez difficile en sortant des pertuis. Il fallait avoir le cœur bien accroché ! Cela a été un long bord de folie… C’est monté jusqu’à 28 nœuds et je pense qu’il y en a qui n’ont pas porté de toile devant à certains moments. J’ai gardé le pied au plancher jusqu’au changement de route. Je suis resté sous petit spi tout le temps. J’avais la confiance des expériences de l’année dernière, donc je suis resté le pied dedans. Par contre, je me suis retrouvé sous la route et je pensais être en avance sur la météo… Mais non ! Du coup, je suis arrivé avec de l’ouest et j’ai dû tirer des bords depuis 8 heures ce matin sous la falaise… Un peu dur pour le moral, mais je suis content. Content parce que ce n’était pas super bien parti et puis le début de saison a été dur… Je n’étais pas trop dedans. Là, c’est bien parti ! »
Thomas Normand : « je suis hyper content car c’était la deuxième course du bateau. L’idée c’était de préserver le bateau et puis là, je suis sur le podium, c’est top ! En jouant soft dans les grosses conditions, c’est passé mieux que ce que je ne pensais. Belle récompense ! C’était chaud pendant les 5 premières heures… C’est simple, je ne suis jamais allé aussi vite en mini ! J’étais entre 14 et 17 nœuds… C’était ceinture et bretelles ! (rires). C’était sportif mais, avec le recul, c’est une superbe expérience. J’ai même pu dormir un peu et du coup être serein sur la transition météo. Du coup, j’étais bien sur le passage de la molle. C’est vraiment top ! ».
Les temps de course des 3 premiers...
Podium Prototypes 1ère étape Mini Pavois : La Rochelle/Gijon
Jorg Riechers : 1 jour 04 heures 03 minutes et 10 secondes / 8,73 noeuds de moyenne
Nicolas Boidevezi : 1 jour 04 heures 38 minutes et 03 secondes / 34'53s sur le premier / 8,56 noeuds de moyenne
Thomas Normand : 1 jour 04 heures 55 minutes et 16 secondes / 52' sur le premier / 17' sur le second / 8,47 noeuds de moyenne
Jorg Riechers : 1 jour 04 heures 03 minutes et 10 secondes / 8,73 noeuds de moyenne
Nicolas Boidevezi : 1 jour 04 heures 38 minutes et 03 secondes / 34'53s sur le premier / 8,56 noeuds de moyenne
Thomas Normand : 1 jour 04 heures 55 minutes et 16 secondes / 52' sur le premier / 17' sur le second / 8,47 noeuds de moyenne
3ème prototype à bon port.
À l'issue de la 1ère étape entre La Rochelle et Gijon, Thomas Normand (787 - Financière de l'échiquier) monte sur la troisième marche du podium pour le classement des prototypes.
Boidevezi est bien arrivé.
Bravo à Nicolas Boidevezi, à bord de Défi G.D.E (719), qui est arrivée à Gijon en 2ème position catégorie prototype.
Sébastien Rogues est arrivé à La Rochelle
Le skipper de Eole Génération - GDF SUEZ (No. 716) est arrivé dans le port de La Rochelle à 15h40. Son système interne de safran est cassé.
Temps de course de Jorg Riechers
Le No. 753, Jorg Riechers à bord de Mare.de a parcouru les 300 milles de cette première étape entre La Rochelle et Gijon en 1 jour, 4 heures, 3 minutes et 10 secondes à la vitesse de 8,73 nœuds de moyenne.
Jorg Riechers, premier proto à Gijon à l'issue de la première étape.
Jorg Riechers à bord de Mare.de (753) vient de franchir la ligne d'arrivée de la première étape du Mini Pavois 2010.
Plus que 1 mille pour franchir la ligne d'arrivée.
Jorg Riechers - No. 753 - Mare.de, est toujours en tête de la flotte des prototypes et il n'est plus qu'à 1 mille de l'arrivée.
Pointage de 13h00 locales
Jorg Riechers en tête du classement prototypes est à 8 milles de l'arrivée et navigue à un peu plus de 4 noeuds. Côté bateaux de série, c'est toujours Xavier Macaire qui est en tête à plus de 25 milles de l'arrivée. Il navigue à plus de 5 noeuds... Cela continue de buter devant... et le vent est quasi aux abonnés absent dans la baie de Gijon. Annoncée tordue, cette arrivée se jouera également sur les nerfs...
Infos de Penn Ar Clos 2 suite
Nouvelles informations de Penn Ar Clos 2 qui nous signale que Jean-Marc Allaire (464 - Baker Tilly-AG2R La Mondiale), Emmanuel Renaud (446 - Koati) et Lucas Schroder (Banzai) connaissent des problèmes de pilote automatique.
Infos de Penn Ar Clos 2
Bateau accompagnateur sur ce Mini Pavois, Penn Ar Clos 2 nous a informé via André Jeantet que le 625, Henrik Masekowitz (La ligue contre le cancer) connaissait une avarie de pilote mais continuait sur Gijon. Le 265, Paul Marette (Région Nord Pas de Calais) avait une avarie d'axe de barre comme le 452, Benoit Reynis (Al Dente) qui avait une avarie de barre de liaison de safran.
ETA premiers protos entre 13 et 14 heures locales
Le vent s'essouffle à l'approche des côtes espagnoles... comme prévu. Les premiers prototypes devraient être en vue de la ligne d'arrivée entre 13 et 14 heures locales.
Seb Rogues à 20 milles des Pertuis rochelais
Malgré de nombreux appels VHF des bateaux accompagnateurs à proximité de la route de Sébastien Rogues (Eole génération GDF Suez), ce dernier n'y a pas répondu. Il semblerait donc que Sébastien n'a plus de moyens de communication VHF à bord. Quoi qu'il en soit, au dernier pointage balises de 11h00 locales, Sébastien fait route à plus de 5 noeuds vers La Rochelle et se trouve actuellement à 20 milles dans le sud-ouest de Chassiron (pointe Nord Ile d'Oléron). GPO sera sur zone bien évidemment pour l'accueillir.
Plus de photos sur...
Plusieurs photographes avaient fait le déplacement au départ du Mini Pavois 2010... Aussi, si vous voulez voir plus de photos, surfez sur les sites de Thierry Martinez, Ricochets17 pour Christophe Breschi, Olivier Blanchet, Audialog pour Guillaume Grange, Christophe Favreau, Jean-Michel Rieupeyrout...
Le démâtage d'Aurélien Ducroz
Juste un rapide retour sur le démâtage d'Aurélien Ducroz survenu hier dans le parcours vers la bouée de dégagement avec cette photo prise par Guillaume Grange. Merci à lui de nous l'avoir transmise.
ETA prototypes sur Gijon
L'ETA des premiers prototypes sur Gijon est prévue vers 12h00 heures locales.
Météo Consult : Petit air de nord-ouest pour le moment
Jeudi 06 mai
L’arrivée d’une cellule de hautes pressions, par l’ouest du golfe, contribue à affaiblir progressivement le vent de secteur nord-ouest sur les 40 derniers milles près de l’arrivée à Gijon.
Cette évolution sera néanmoins lente et devrait permettre à la tête de la flotte d’arriver, entre 12h et 14h, dans un petit air de nord-ouest. Pour les suivants, la situation s’avère beaucoup plus délicate avec le rapprochement des hautes pressions et l’installation d’une vaste zone de calme près de Gijon. Ces calmes persisteront une bonne partie de l’après-midi avant la levée d’un très léger flux de nord-est en soirée.
Tendance ultérieure
Vendredi, la présence d’une dépression orageuse sur le centre de l’Espagne provoque le renforcement du vent de nord-est l’après-midi sur Gijon. La masse d’air devient instable. Le risque d’averses augmente.
A partir de samedi, la fiabilité de la prévision se trouve limitée en raison de l’incertitude concernant l’évolution de deux centres d’action principaux : à savoir la dépression sur les Açores, qui se rapproche vers le cap Finisterre dimanche, et l’anticyclone au sud-ouest de l’Islande. Si la tendance est à l’établissement progressif d’un flux perturbé d’est à nord-est pour le départ de la seconde étape dimanche, son évolution vers un renforcement ou un affaiblissement est incertaine.
L’arrivée d’une cellule de hautes pressions, par l’ouest du golfe, contribue à affaiblir progressivement le vent de secteur nord-ouest sur les 40 derniers milles près de l’arrivée à Gijon.
Cette évolution sera néanmoins lente et devrait permettre à la tête de la flotte d’arriver, entre 12h et 14h, dans un petit air de nord-ouest. Pour les suivants, la situation s’avère beaucoup plus délicate avec le rapprochement des hautes pressions et l’installation d’une vaste zone de calme près de Gijon. Ces calmes persisteront une bonne partie de l’après-midi avant la levée d’un très léger flux de nord-est en soirée.
Tendance ultérieure
Vendredi, la présence d’une dépression orageuse sur le centre de l’Espagne provoque le renforcement du vent de nord-est l’après-midi sur Gijon. La masse d’air devient instable. Le risque d’averses augmente.
A partir de samedi, la fiabilité de la prévision se trouve limitée en raison de l’incertitude concernant l’évolution de deux centres d’action principaux : à savoir la dépression sur les Açores, qui se rapproche vers le cap Finisterre dimanche, et l’anticyclone au sud-ouest de l’Islande. Si la tendance est à l’établissement progressif d’un flux perturbé d’est à nord-est pour le départ de la seconde étape dimanche, son évolution vers un renforcement ou un affaiblissement est incertaine.
A moins de 30 milles de l'arrivée à 8h00
La nuit a apporté son lot de milles... Peu de changement dans les hiérarchies si ce n'est le retour en première place de Jorg Riechers. Nicolas Boidevezi, longtemps en tête pendant la nuit, a glissé en 2 en fin de nuit. Ils sont tous les deux au coude à coude, l'allemand est devant à 1,64 milles... On retrouve derrière l'étonnant Thomas Normand, lui qui voulait surtout "engranger des milles" sur ce Mini Pavois. Il est 3e. A suivre Lucas Montagne et David Etienne qui, tous les deux, découvrent leur monture. L'un ayant le plan Finot d'Olivier Avram la saison dernière et l'autre le plan Manuard de Stéphane Le Diraison. Une prise en main qui se passe plutôt correctement à la vue des positions. Comme attendu, les vitesses ont chuté et taquinent maintenant les 6 noeuds. La palme de la meilleure vitesse entre les deux derniers relevés revient à Thomas Normand avec 10,33 noeuds ! Lui et Lucas Montagne semblent avoir trouvé une veine de vent qui leur permet de glisser plus vite que les autres entre les deux derniers pointages. A suivre... Maintenant, comme prévu, le vent s'essouffle par l'avant et rien d'étonnant de voir buter les premiers au fil de leur progression vers Gijon...
Côté série, même écho. Xavier Macaire reste campé en tête. Il a 10,8 milles d'avance sur Jonas Gerckens. Les vitesses sont de 7/8 noeuds, 15 milles derrière le premier proto. Xavier est à 42 milles de l'arrivée à 8h00 locales. Benoit Laurière est 3, Robert Rosen Jacobson 4 et François Amaury 5.
Si l'on fait un rapide point sur les abandons : Pascal Chombard de Lauwe a abandonné hier soir pour problèmes de pilote, Benoit Verbeke et Philippe Lacaze pour raisons personelles, David Raison pour problème de safran, Aurélien Ducroz et Jorge Maden Ruiz pour démâtage.
Cap au 55° pour Sébastien Rogues
Problèmes techniques obligatoires pour Sébastien Rogues (716 - Eole Generation GDF Suez) qui depuis la nuit de hier soir a fait demi-tour et suit un cap au Nord-Est vers La Rochelle. Sébastien navigue à petite vitesse, un peu plus de 5 noeuds, sur la route. Informations complémentaires dès que possible.
Boidevezi et Macaire dans la descente !
Nicolas Boidevezi en prototypes et Xavier Macaire en série imposent leur rythme en ce début de nuit. Au dernier pointage du jour, soit à 22h00 heures locales (20h00 TU), Nicolas a glissé devant Jorg Riechers et Xavier montre une fois de plus sa maitrise dans le portant musclé. Tous les deux sont leaders de flotte et nombreux sont ceux qui ont avalés plus de la moitié du parcours en 10/11 heures de course. Beau rythme ! Et si tous les deux pointent respectivement à 115 et 129 milles de l'arrivée, ils devraient connaître une baisse d'intensité du vent en milieu de nuit. Le vent va descendre crescendo de 30 noeuds à 20 noeuds puis à 15 au fur et à mesure de leur progression vers le sud. L'idée : aller le plus vite pour buter le plus tard dans la zone de molle qui s'installe sur l'approche de l'Espagne. Vont-ils réussir à se glisser avant les calmes ? Là est la question... Maintenant, les écarts sont intéressants à noter et l'on voit que Nicolas a réussi à caler quelques jolis milles d'avance sur Jorg, Thomas Normand, Lucas Montagne et David Etienne. En série, l'avance de Xavier est tout aussi intéressante si ce n'est qu'ils sont 9 à se tenir en 20 milles. a suivre... Milan Kolacek a bien repris la mer. Le Tchèque va avoir le mords aux dents dans la deuxième étape, c'est sûr !
Ryan Finn a repris la mer
L'américain Ryann Finn (252 - Myrna Minkoff) a repris la mer dans la soirée après avoir résolu ses problèmes de bastaques, de latte de GV et de pilote.
Abandons de Pascal Chombard de Lauwe et Benoit Verbeke
Après être revenu puis reparti, Pascal Chombard de Lauwe (721 - Xanlite) est finalement revenu au Port des Minimes et a signalé son abandon pour problème persistant de pilote automatique. De son côté, Benoit Verbeke (663 - Gully-Vert) est revenu et a abandonné pour raisons personnelles également dans la soirée.
mercredi 5 mai 2010
Milan Kolacek reprendra la mer dés que possible.
Le numéro 759, Milan Kolacek s'active à vider l'eau qui a envahi son cockpit et à sécher son électronique inondée... Il a fait part de son intention de repartir dés que possible !
Cela glisse...
Belles vitesses en ce moment pour l'ensemble de la flotte... Les protos glissent entre 13 et 14 noeuds pour les plus rapides et les séries sont entre 9 et 10 noeuds. autant dire que les milles sont avalés dans le bon sens et qu'il faut gagner sur la route en profitant du flux de secteur nord dominant. La nuit s'annonce de ce fait sportive et il va être difficile d'envisager de fermer l'oeil car c'est justement là qu'il faudra "tirer" sur la bête pour coller les meilleurs et tenter de se glisser avant la zone de calmes qui va se glisser devant Gijon demain dans la journée... Autant dire que tous devraient avoir de petits yeux demain... Mais la rançon du succès est clairement dans la gestion de cette nuit. Le bidon étanche avec des barres de céréale ou autres fruits secs est à portée de main, une bouteille d'eau est coincée pas trop loin, plusieurs couches de vêtements chauds sont d'ores et déjà sur le bonhomme, la frontale est placée dans une poche... sans oublier la barre entre les dents ! Cela va être chaud dans cette ambiance frigorifiante et cet air qui nous vient de Norvège...
Quel dommage...
... de ne pas voir le Magnum de David Raison se confronter à la flotte des prototypes sur ce Mini Pavois 2010 ! Pour se consoler un album photos du bateau en navigation est disponible sur le profil facebook GPO. Inutile de vous dire que c'était assez impressionnant sur l'eau...
Re départ et nouveau retour
Pascal Chombard de Lauwe (721 - Xanlite) a annoncé qu'il reprenait la mer vers 18h00 ce soir. Par contre, c'est le 663, Benoit Verbeke (Gully-Vert) qui vient d'annoncer à un bateau accompagnateur son retour vers La Rochelle.
Météo Consult : Musclée puis calme...
Mercredi 05 mai
La dépression près du golfe de Gênes remonte ce matin vers le nord de l’Italie puis se creuse légèrement cette après-midi en direction de l’Autriche. Dans le même temps l’anticyclone au large de l’Irlande(1032 hPa à midi) s’éloigne un peu vers le nord. Le gradient de pression se desserre un peu par rapport à la veille. Il contribue à une baisse partielle du vent. Ce vent très instable tourne progressivement au nord-ouest en cours d’après-midi.
A onze heures, à la Rochelle, le vent prévu est de secteur N force 4 avec des rafales à 20 nœuds. Rapidement en direction du large le vent montera force 5 avec des rafales à 25 nœuds. La mer deviendra agitée avec des vagues moyennes entre 1 et 1,5 m. significative des vagues se limite alors à 2m en direction large. Le temps est variable, partagé entre nuages et soleil. La visibilité est le plus souvent excellente.
En route directe vers Gijon, le vent prend de la gauche pour tourner au NNW en milieu d’après-midi. Sa force oscille entre 5 et 6, avec des rafales force 7. Les creux atteignent 2 mètres. Cette situation se maintient jusqu’en soirée avec une baisse partielle force 4-5.
Cette baisse se poursuit dans la nuit sous la double influence de la formation d’une cellule de hautes pressions au nord-ouest de l’Espagne et d’une dépression en entrée du golfe de Gascogne.
Jeudi 06 mai
L’anticyclone continue de remonter légèrement en direction de l’Islande. La dépression en entrée du golfe se dirige vers le cap Finisterre, tandis que les hautes pressions s’éloignent vers le sud de l’Espagne. Cette configuration favorise la baisse marquée des vents et le risque de molle à l’arrivée. Les conditions de temps se dégradent avec une visibilité en baisse sous de possibles, mais faibles précipitations.
En matinée le vent de nord-ouest faiblit à force 3 puis 2 à moins de 20 milles de l’arrivée. En début d’après-midi, une zone de calme s’installe près de l’arrivée avant la levée d’un léger flux au nord-nord-est. La houle de nord atteint 1 m.
La dépression près du golfe de Gênes remonte ce matin vers le nord de l’Italie puis se creuse légèrement cette après-midi en direction de l’Autriche. Dans le même temps l’anticyclone au large de l’Irlande(1032 hPa à midi) s’éloigne un peu vers le nord. Le gradient de pression se desserre un peu par rapport à la veille. Il contribue à une baisse partielle du vent. Ce vent très instable tourne progressivement au nord-ouest en cours d’après-midi.
A onze heures, à la Rochelle, le vent prévu est de secteur N force 4 avec des rafales à 20 nœuds. Rapidement en direction du large le vent montera force 5 avec des rafales à 25 nœuds. La mer deviendra agitée avec des vagues moyennes entre 1 et 1,5 m. significative des vagues se limite alors à 2m en direction large. Le temps est variable, partagé entre nuages et soleil. La visibilité est le plus souvent excellente.
En route directe vers Gijon, le vent prend de la gauche pour tourner au NNW en milieu d’après-midi. Sa force oscille entre 5 et 6, avec des rafales force 7. Les creux atteignent 2 mètres. Cette situation se maintient jusqu’en soirée avec une baisse partielle force 4-5.
Cette baisse se poursuit dans la nuit sous la double influence de la formation d’une cellule de hautes pressions au nord-ouest de l’Espagne et d’une dépression en entrée du golfe de Gascogne.
Jeudi 06 mai
L’anticyclone continue de remonter légèrement en direction de l’Islande. La dépression en entrée du golfe se dirige vers le cap Finisterre, tandis que les hautes pressions s’éloignent vers le sud de l’Espagne. Cette configuration favorise la baisse marquée des vents et le risque de molle à l’arrivée. Les conditions de temps se dégradent avec une visibilité en baisse sous de possibles, mais faibles précipitations.
En matinée le vent de nord-ouest faiblit à force 3 puis 2 à moins de 20 milles de l’arrivée. En début d’après-midi, une zone de calme s’installe près de l’arrivée avant la levée d’un léger flux au nord-nord-est. La houle de nord atteint 1 m.
Le départ de ce Mini Pavois 2010, résumé...
Le départ de ce Mini Pavois a tenu ses engagements pour ce qui étaient des conditions sur l’eau : le flux de Nord/Nord-Est était bien présent et soufflait à 20 nœuds avec des rafales à 25/27 nœuds. Un ou deux ris dans la grand-voile pour les ministes avec solent arrisé devant (ndr, voile d’avant dont il est possible de diminuer la surface en prenant 1 ris comme une grand voile).
Beau départ à 11h14 dans le sud-ouest de La Rochelle avec une bouée de dégagement mouillée à 2 milles dans le Nord de la ligne, juste au large du Port des Minimes. Au petit jeu des virements de bord, on retrouve rapidement quelques noms connus ou attendus… L’allemand Jorg Riechers (753 – Mare.de) vire en tête des protos, suivi quelques minutes plus tard par Sébastien Rogues (716 – Eole Génération GDF Suez) et Nicolas Boidevezi (719 – Groupe GDE). Trois noms qui mènent la ronde et sur lesquels il faudra compter… Pas trop étonnant de les voir et ce, dès le premier pointage ! On trouve également dans la foulée Thomas Normand (787 – Financière de l’Echiquier) sur son plan Manuard 2010 flambant neuf, Henri Patou (551 – Ecartip) et le tchèque Milan Kolacek (759 – Follow me). Les envois de petits spis et de codes 5 s’orchestrent tant bien que mal… Nicolas Boidevezi monte au mât, le bateau sous pilote pour dépatouiller un problème de drisse. Sébastien Rogues envoie le spi, chalute, affale, renvoie… Chaud !
Côté série, c’est Jean-Marc Allaire (464 – Baker Tilly – AG2R La Mondiale) qui mène la danse suivi de Xavier Macaire (472 – Starter). Impossible de ne pas penser à la « démonstration » de Xavier dans la première étape de La Charente-Maritime/Bahia Transat 6,50 lorsqu’il tenait tête, avec Francisco Lobato, aux protos dans la brise au portant. Xavier aime ces conditions, cela se sent. Quelques départs au tas sont à constater dans l’axe du Pont de l’Ile de Ré où la mer devient plus formée et où le vent entre par grandes bouffées… Rien d’étonnant, mais les écarts après quelques milles de course sont déjà conséquents entre ceux qui savent qu’il va falloir cravacher pour taquiner le podium et ceux qui assurent…
Démâtage, casses et retour au port…
On le sait : les conditions de brise sont toujours plus exigeantes et ce départ a connu son lot de problèmes techniques. Les plus douloureux sont incontestablement pour Aurélien Ducroz (417 – Nissan) qui démâte sur le parcours de prés. Aurélien a les ailes brisées, lui qui se présentait ici pour sa première course en solitaire… Le champion du monde de freeride est logiquement très déçu de voir cette aventure se terminer si vite. Coup dur également pour l’espagnol Jorge Maden Ruiz (636 – Casio G-Shock) qui a démâté également en faisant route vers La Rochelle pour solutionner un problème… Sale coup ! David Raison est également déçu de devoir jeter l’éponge avec son Magnum. Ce bateau qui vient incontestablement bousculer les idées reçues… Un fusible de safran a flanché et l’a obligé à revenir au port. Sur le retour, il abîme sa coque… David préfère se retirer, désolé… Retour au port également pour Milan Kolacek. Dans le groupe de tête, Milan a connu un problème de schnorkel (ndr, système qui permet de remplir les ballasts du bord) et l’eau a envahi entièrement son habitacle. À noter également : Pascal Chombard de Lauwe (721 – Xanlite) qui a eu un problème de pilote l’obligeant à rentrer au port peu avant le départ, Fabienne Robin (708 – Plume d’ange) qui est également rentrée au port pour des problèmes de pilote puis est repartie en course et Ryann Finn (252 – Myrna Minkoff) qui rentre également pour réparer des problèmes de pilote, bastaques et de lattes de grand voile.
Beau départ à 11h14 dans le sud-ouest de La Rochelle avec une bouée de dégagement mouillée à 2 milles dans le Nord de la ligne, juste au large du Port des Minimes. Au petit jeu des virements de bord, on retrouve rapidement quelques noms connus ou attendus… L’allemand Jorg Riechers (753 – Mare.de) vire en tête des protos, suivi quelques minutes plus tard par Sébastien Rogues (716 – Eole Génération GDF Suez) et Nicolas Boidevezi (719 – Groupe GDE). Trois noms qui mènent la ronde et sur lesquels il faudra compter… Pas trop étonnant de les voir et ce, dès le premier pointage ! On trouve également dans la foulée Thomas Normand (787 – Financière de l’Echiquier) sur son plan Manuard 2010 flambant neuf, Henri Patou (551 – Ecartip) et le tchèque Milan Kolacek (759 – Follow me). Les envois de petits spis et de codes 5 s’orchestrent tant bien que mal… Nicolas Boidevezi monte au mât, le bateau sous pilote pour dépatouiller un problème de drisse. Sébastien Rogues envoie le spi, chalute, affale, renvoie… Chaud !
Côté série, c’est Jean-Marc Allaire (464 – Baker Tilly – AG2R La Mondiale) qui mène la danse suivi de Xavier Macaire (472 – Starter). Impossible de ne pas penser à la « démonstration » de Xavier dans la première étape de La Charente-Maritime/Bahia Transat 6,50 lorsqu’il tenait tête, avec Francisco Lobato, aux protos dans la brise au portant. Xavier aime ces conditions, cela se sent. Quelques départs au tas sont à constater dans l’axe du Pont de l’Ile de Ré où la mer devient plus formée et où le vent entre par grandes bouffées… Rien d’étonnant, mais les écarts après quelques milles de course sont déjà conséquents entre ceux qui savent qu’il va falloir cravacher pour taquiner le podium et ceux qui assurent…
Démâtage, casses et retour au port…
On le sait : les conditions de brise sont toujours plus exigeantes et ce départ a connu son lot de problèmes techniques. Les plus douloureux sont incontestablement pour Aurélien Ducroz (417 – Nissan) qui démâte sur le parcours de prés. Aurélien a les ailes brisées, lui qui se présentait ici pour sa première course en solitaire… Le champion du monde de freeride est logiquement très déçu de voir cette aventure se terminer si vite. Coup dur également pour l’espagnol Jorge Maden Ruiz (636 – Casio G-Shock) qui a démâté également en faisant route vers La Rochelle pour solutionner un problème… Sale coup ! David Raison est également déçu de devoir jeter l’éponge avec son Magnum. Ce bateau qui vient incontestablement bousculer les idées reçues… Un fusible de safran a flanché et l’a obligé à revenir au port. Sur le retour, il abîme sa coque… David préfère se retirer, désolé… Retour au port également pour Milan Kolacek. Dans le groupe de tête, Milan a connu un problème de schnorkel (ndr, système qui permet de remplir les ballasts du bord) et l’eau a envahi entièrement son habitacle. À noter également : Pascal Chombard de Lauwe (721 – Xanlite) qui a eu un problème de pilote l’obligeant à rentrer au port peu avant le départ, Fabienne Robin (708 – Plume d’ange) qui est également rentrée au port pour des problèmes de pilote puis est repartie en course et Ryann Finn (252 – Myrna Minkoff) qui rentre également pour réparer des problèmes de pilote, bastaques et de lattes de grand voile.
Ryan Finn, infos en +
Ryan Finn (252 - Myrna Minkoff) fait demi-tour et revient à La Rochelle. Il rencontre, en effet, des problèmes avec son pilote, sa bastaque et une latte de grand voile.
Démâtage pour Jorge Maden Ruiz
Jorge Maden Ruiz (636 - Casio G-Shock) a démâté alors qu'il revenait au port pour une avarie.
1 départ et 3 arrivées à La Rochelle
Fabienne Robin (708 - Plume d'Ange) a finalement pu reprendre la mer après un court retour au port pour des problèmes de pilote... C'était visiblement sans gravité.
David Raison (747 - Magnum) est, quant à lui, moins heureux puisqu'il a du abandonner quelques heures après le départ de l'édition 2010.
Enfin signalons, trois retours au port pour avaries techniques avec le tchèque Milan Kolacek (759 - Follow me), l'espagnol Jorge Maden Ruiz (636 - Casio G-Shock) et l'américain Ryan Finn (252 - Myrna Minkoff).
David Raison (747 - Magnum) est, quant à lui, moins heureux puisqu'il a du abandonner quelques heures après le départ de l'édition 2010.
Enfin signalons, trois retours au port pour avaries techniques avec le tchèque Milan Kolacek (759 - Follow me), l'espagnol Jorge Maden Ruiz (636 - Casio G-Shock) et l'américain Ryan Finn (252 - Myrna Minkoff).
2ème bateau de série à la bouée
Le deuxième bateau de série à avoir virer à la bouée de dégagement est le N° 472 - STARTER - de Xavier Macaire.
1er bateau série à la bouée de dégagement.
Le premier bateau de série à se présenter à la bouée de dégagement est le N° 464 - BAKER TILLY - AG2R La Mondiale skippé par Jean-Marc ALLAIRE.
Aurélien Ducroz annonce un démâtage.
Avant même le passage de la bouée de dégagement, Aurélien Ducroz à bord du proto Nissan (417), a démâté et rentre au port.
Catégorie prototypes : les 1ers à la bouée de dégagement.
Les trois premiers prototypes à avoir virer à la bouée de dégagement sont :
1 - N° 753, Jorg Riechers (Mare.de)
2 - N° 716, Sébastien Rogues (Eole Génération - GDF Suez)
3 - N° 719, Nicolas Boidevezi (Défi G.D.E)
1 - N° 753, Jorg Riechers (Mare.de)
2 - N° 716, Sébastien Rogues (Eole Génération - GDF Suez)
3 - N° 719, Nicolas Boidevezi (Défi G.D.E)
Fabien Robin rentre au port.
Le N° 708, Fabienne Robin (Plume d'Ange) est reparti en direction du Port des Minimes.
Elle doit rencontrer un problème technique, nous en saurons plus à son arrivée au port.
Elle doit rencontrer un problème technique, nous en saurons plus à son arrivée au port.
Bon départ à 11h14 (heure française) !
La flotte s'est élancée pour la première étape du Mini Pavois 2010, les bateaux sont en route pour virer une bouée de dégagement placée au large du Port des Minimes.
Le 721, Pascal Chombard de Lauwe (Xanlite) a du rentré au port avant le départ pour un problème de pilote automatique.
Le 747, David Raison (Magnum) est en train de rentrer au port pour un problème de safran.
Lancement de la pocédure de départ à 11h04
Léger retard dans le lancement de la procédure de départ...
Sur zone, le vent de Nord souffle 20 nœuds avec des rafales comme prévu.
Sur zone, le vent de Nord souffle 20 nœuds avec des rafales comme prévu.
Philippe Lacaze en prend pas le départ
Pour des raisons personnelles, Philippe Lacaze sur le 603 (Istuardo) ne prendra pas le départ de ce Mini Pavois.
Sortie des bateaux dès 8h30...
Emargements de départ, remise des téléphones portables à l'organisation, derniers préparatifs, derniers fichiers météo piochés sur Internet... Tout se met en place depuis 7h30 dans les locaux de GPO et sur le ponton 14 du port des Minimes. La sortie des bateaux est prévue à partir de 8h30 sachant que les bateaux sont en configuration de course depuis 8h00 ce matin. Le départ est prévu à 11h00 dans le sud-ouest de La Rochelle et les ministes auront une bouée de dégagement à virer placé au large de la ville aux deux tours. Ensuite, cap sur la sortie du Pertuis d'Antioche...
mardi 4 mai 2010
Départ mercredi 5 mai à 11h00
Le départ sera donné à 11h00 ce mercredi 5 mai au large de La Rochelle. La ligne de départ sera mouillée dans le sud-ouest du port des Minimes et les bateaux viendront virer une bouée de dégagement placée au large de La Rochelle. Ensuite, ils mettront le cap vers la sortie des Pertuis, cap sur le Golfe de Gascogne.
La situation météo pour ce mercredi avec Eric Mas de Météo Consult
« La dépression méditerranéenne se comble progressivement dès le matin (1002 hPa à midi) sur le golfe de Lion avant de s’éloigner vers le golfe de Gênes en cours d’après-midi. Dans le même temps l’anticyclone au large de l’Irlande s’affaisse légèrement (1030 hPa à midi) tout en s’éloignant vers le nord. Le gradient se desserre donc nettement sur le golfe de Gascogne et les conditions s’améliorent progressivement. A midi, à la Rochelle, le vent prévu est de NNE force 5 avec des rafales à 25 nœuds. Au large le vent est de la même teneur et les vagues faiblissent lentement. La hauteur significative se limite alors à 2m50. Avec des éclaircies plus larges et des averses plus rares, la visibilité est le plus souvent excellente. Dans la nuit de mercredi à jeudi, en route directe vers Gijon, les conditions continuent de faiblir lentement. »
Rock’n’roll… en trois temps !
Reportée à demain mercredi, la première partie de cette étape vers l’Espagne sera sportive et intense. Le flux de Nord/Nord-Est continuera de souffler le long de la façade Atlantique à 20 nœuds avec des rafales possibles à 25 nœuds. Le vent tournera ensuite progressivement au Nord en faiblissant puis au Nord-Ouest. Un flux de Nord-Ouest qui glissera franchement à l’Ouest à l’approche des côtes ibériques. Le hic est une zone de vent faible qui glissera du Nord vers le Sud et qui pourrait prendre dans ses mailles la queue de la flotte en fin de journée jeudi. Un refrain connu, avec une zone tampon qui en bloquera certains pour mieux creuser les écarts avec ceux qui auront bravé la nuit à la barre, aux réglages et aux changements de voile. Car, qu’on se le dise : il devrait y avoir du brassage de toile sur cette première étape ! Un 245 milles que les premiers pourraient avaler en un peu plus de 24 heures, à la seule condition de s’imposer un 100% d’intensité à bord. Grandes voiles d’avant dans la brise pour ceux qui veulent avaler les milles rapidement en début de course, voiles plates pour finir en beauté… Un menu « sanglier » au départ mais tendance « gueule fine » quant à la stratégie à adopter : faudra-t-il gagner sur la route rapidement ou garder de l’Ouest pour se préserver de l’angle à l’approche des côtes espagnoles quand le vent sera presque dans l’étrave ? Intéressant… Quoi qu’il en soit : cette première étape propose un menu parfait avec de l’endurance, de la stratégie et un excellent compromis cap/vitesse à respecter. De la tension et beaucoup d’attention… Que demander de mieux ?...
A J-1, ils en parlent...
Lucas Montagne (618 – ONG Conseil) : « Déjà, c’est une bonne chose que d’avoir reporté le départ de 24 heures. Quant on voit le vent qu’il y a dans le port, on peut imaginer ce qu’il y a dehors… Cela n’empêchera pas que cette première étape sera intense. On va partir dans un flux mollissant de Nord/Nord-Est mais qui restera tout de même puissant. Il va falloir être attentif et précis dans le choix des voiles, des trajectoires et dans la conduite du bateau pour ne pas faire de sorties de route. Cela devrait aller vite même si ensuite le vent va tourner progressivement à l’approche des côtes espagnoles… Il faudra être dans le bon paquet dés le départ ! Ce sera sportif et je suis prêt avec mon nouveau bateau… ».
Thomas Normand (787 – Financière de l’Echiquier) : « Mon objectif sur ce Mini Pavois est avant tout de terminer et de prendre des milles pour pouvoir me qualifier pour Les Sables-Les Açores puis pour La Charente-Maritime/Bahia Transat 6,50. Maintenant, si je peux être dans le bon paquet, tant mieux ! L’étape se fera en deux temps avec un départ dans un vent de Nord/Nord-Est qui va tourner progressivement à l’Ouest. Il faudra également se méfier de l’état de la mer car nous pourrons avoir une mer plus forte que le vent. Il faudra alors adopter les bons choix de voile… ».
Nicolas Boidevezi (719 - Groupe GDE) : « Cela risque d’être un bon sprint autant pour les bonhommes que pour les bateaux. Il va falloir rester à 100% un maximum de temps. Nous allons partir dans un flux de Nord qui va virer à l’Ouest en arrivant sur Gijon. Cela veut dire que cela va aller vite car nos bateaux sont rapides dans ces conditions… Mais ils sont aussi exigeants ! Cela va partir, mais est-ce que l’on va réussir à maintenir des grandes voile d’avant dans la transition météo ? C’est la question… Je pense que cela dépendra aussi beaucoup de l’état de la mer. On risque d’être freiné par la houle au large… Ce qui est sûr : c’est que l’on va avoir la possibilité d’essayer un large panel de voiles ! ».
Thomas Normand (787 – Financière de l’Echiquier) : « Mon objectif sur ce Mini Pavois est avant tout de terminer et de prendre des milles pour pouvoir me qualifier pour Les Sables-Les Açores puis pour La Charente-Maritime/Bahia Transat 6,50. Maintenant, si je peux être dans le bon paquet, tant mieux ! L’étape se fera en deux temps avec un départ dans un vent de Nord/Nord-Est qui va tourner progressivement à l’Ouest. Il faudra également se méfier de l’état de la mer car nous pourrons avoir une mer plus forte que le vent. Il faudra alors adopter les bons choix de voile… ».
Nicolas Boidevezi (719 - Groupe GDE) : « Cela risque d’être un bon sprint autant pour les bonhommes que pour les bateaux. Il va falloir rester à 100% un maximum de temps. Nous allons partir dans un flux de Nord qui va virer à l’Ouest en arrivant sur Gijon. Cela veut dire que cela va aller vite car nos bateaux sont rapides dans ces conditions… Mais ils sont aussi exigeants ! Cela va partir, mais est-ce que l’on va réussir à maintenir des grandes voile d’avant dans la transition météo ? C’est la question… Je pense que cela dépendra aussi beaucoup de l’état de la mer. On risque d’être freiné par la houle au large… Ce qui est sûr : c’est que l’on va avoir la possibilité d’essayer un large panel de voiles ! ».
"Gueules" de briefing...
Fidèle à sa tradition, Christophe Breschi a "tapé" quelques "gueules" de briefing hier lundi soir... Pour aller les voir, il faut surfer sur le site http://www.ricochets17.com. Sympa...
Benoît Amalric ne prendra pas le départ
Benoit Amalric sur Tchao (Pogo 2) ne prendra pas le départ pour des raisons personnelles. Il y aura donc 25 bateaux de série au départ.
Force 5/6 sur La Rochelle
Un baromètre à 1018,8 HPR, un vent entre 20 et 30 noeuds de Nord/Nord-Est, une température de 9,2°, un ciel mêlant nuages et soleil, un taux d'humidité de 55%... voilà le temps qu'il fait actuellement sur le Port des Minimes de La Rochelle. A l'extérieur du port et dans les pertuis, des vagues sont modérées, nettement allongées avec pas mal d'embruns... En dehors des pertuis, les rafales montent à force 7 et la mer se zèbre de blanc... Voilà pour l'ambiance !
L'école d'Usseau de Ste Soulle fidèle à Seb Rogues !
Elle est revenue l'école d'Usseau de Ste Soulle sur le ponton 14 du Mini Pavois pour suivre Sébastien Rogues sur son nouveau proto sous les couleurs d'Eole Génération GDF Suez ! "Cette école m'a suivi dans la Transat 6,50 et elle me suit de nouveau cette saison ! Le Mini Pavois était un bon moyen de leur présenter le nouveau bateau et de se revoir" explique Seb. Du côté des écoliers et malgré le vent de nord/nord-est, c'est la joie de revoir le skipper et de monter à bord pour découvrir la "nouvelle bête" de Sebastien. Ils montent tour à tour par groupe de 5 et se glissent dans l'habitacle. Découverte de l'espace de vie réduit au strict minimum, de l'imposant système de quille pendulaire... Les questions fusent et Sébastien y répond avec précision. "C'est intéressant de poursuivre l'aventure avec Sébastien explique l'enseignante. Nous l'avons suivi l'an dernier et il était venu en classe après la Transat 6,50 nous expliquer son aventure. C'est une journée tournée vers la mer aujourd'hui car nous passerons l'après-midi au Musée Maritime...". Et c'est alors qu'un enfant glisse : "Dites, il est chauffé le Musée Maritime ?"... Véridique !
lundi 3 mai 2010
Départ mercredi 5 mai à 11h00
Denis Hugues, Directeur de Course du Mini Pavois : « Le report a été décidé compte tenu des conditions météo annoncées. Le vent sera relativement fort sur zone, notamment dans la nuit de mardi à mercredi, avec des rafales à plus de 40 nœuds et des creux de plus de 3 mètres. Cela devrait se calmer le lendemain. Nous avons décidé de ce fait qu’il fallait reporter le départ de 24 heures. Il y a tout d’abord le principe de sécurité qui prévaut mais il y a aussi certains marins pour qui se sera la première expérience de grand large. Et il n’était pas raisonnable de les envoyer dans une situation délicate car ils vont déjà devoir s’acclimater à un nouveau rythme de sommeil, à bien penser à se nourrir, à s’hydrater… Cette course sera déjà une belle école comme cela et il était inutile de compliquer les choses ».
Eric Mas de Météo Consult : « Un anticyclone de 1035 hPa au large de l’Irlande et une dépression 990 hPa en Méditerranée, remontant lentement depuis les Baléares sur le golfe de Lion, génèrent un fort flux de nord sur le golfe de Gascogne. L’air froid et dense entraîné par ce flux est particulièrement instable. Dans ces conditions les rafales sont violentes et les vagues se lèvent rapidement. Au large de La Rochelle, le vent de NNE est établi à force 6 à 7 avec des rafales atteignant 35 nœuds dans l’après-midi. La hauteur significative des vagues est alors estimée à 3 mètres. La visibilité est bonne, exceptée sous les grains. La situation n’évolue pratiquement pas au cours de la nuit. »
Eric Mas de Météo Consult : « Un anticyclone de 1035 hPa au large de l’Irlande et une dépression 990 hPa en Méditerranée, remontant lentement depuis les Baléares sur le golfe de Lion, génèrent un fort flux de nord sur le golfe de Gascogne. L’air froid et dense entraîné par ce flux est particulièrement instable. Dans ces conditions les rafales sont violentes et les vagues se lèvent rapidement. Au large de La Rochelle, le vent de NNE est établi à force 6 à 7 avec des rafales atteignant 35 nœuds dans l’après-midi. La hauteur significative des vagues est alors estimée à 3 mètres. La visibilité est bonne, exceptée sous les grains. La situation n’évolue pratiquement pas au cours de la nuit. »
Départ reporté à mercredi...
En raison des conditions météorologiques annoncées demain mardi entre La Rochelle (Charente-Maritime) et Gijon (Asturies), le départ est reporté au mercredi 5 mai à 11h00.
Ils seront 43 au départ de ce Mini Pavois
Après les désistements de Véronique Loisel, Ewan Stirling, Pierre Boivin et de David Prono, ils seront donc 43 à prendre le départ. La flotte se répartit entre 17 prototypes et 26 bateaux de série.
La liste des prototypes lundi 3 mai :
36 DENJEAN Pierre FRA OUFTI FAUROUX 91
252 FINN Ryan USA MYRNA MINKOFF PROTO FINOT 99
265 MARETTE Paul FRA REGION NORD PAS DE CALAIS PROTO MAGNEN-NIVELT 99
417 DUCROZ Aurélien FRA NISSAN PROTO LOMBARD 02
509 SCHRODER Lucas NED BANZAI PROTO MANUARD 04
551 PATOU Henri FRA ECARTIP PROTO MANUARD 05
618 MONTAGNE Lucas FRA ONG CONSEIL FINOT CONQ 2006
625 MASEKOWITZ Henrik GER CARIBOU CANIVENC 2006
679 DAVID Etienne SUI TEAMWORK PROTO MANUARD 07
716 ROGUES Sébastien FRA EOLE GENERATION - GDF SUEZ PROTO LOMBARD 08
719 BOIDEVEZI Nicolas FRA DEFI G.D.E. PROTO BERTRAND 08
721 CHOMBART de LAUWE Pascal FRA XANLITE NACIRA NACIRA DESIGN 08
747 RAISON David FRA MAGNUM RAISON 09
753 RIECHERS Jorg GER MARE.DE PROTO BERTRAND 09
759 KOLACEK Milan CZE FOLLOW ME PROTO MANUARD 09
785 ASTIER Alban FRA SEANERGY NACIRA NACIRA DESIGN 09
787 NORMAND Thomas FRA FINANCIERE DE L'ECHIQUIER PROTO MANUARD 10
La liste des bateaux de série lundi 3 mai :
230 BERTRAND Serge FRA MINIMUM SERIE POGO 1 ROLLAND 98
446 RENAUD Emmanuel FRA KOATI SERIE POGO 2 FINOT 03
452 REYNIS Benoit FRA AL DENTE SERIE POGO 2 FINOT 03
464 ALLAIRE Jean-Marc FRA BAKER TILLY - AG2R LA MONDIALE SERIE POGO 2 FINOT 03
472 MACAIRE Xavier FRA STARTER SERIE POGO 2 FINOT 03
473 GERCKENS Jonas BEL PragmaWork SERIE POGO 2 FINOT 03
480 COLMAN Conrad NZL COLMAN COURSE AU LARGE SERIE POGO 2 FINOT 04
481 PILATO Vincent FRA MCOM SERIE POGO 2 FINOT 03
483 LE PAUTREMAT Yann FRA As de Cœur - Mécénat Chirurgie Cardiaque SERIE POGO 2 FINOT 04
486 AMALRIC Benoit FRA TCHAO SERIE POGO 2 FINOT 04
488 ORTI Nacho ESP NACHO ORTI BUSCA SPONSOR SERIE POGO 2 FINOT 04
518 DENIS François FRA PASSION D'AVRIL SERIE POGO 2 FINOT 04
539 LAURIERE Benoit FRA KALONIG 2 SERIE POGO FINOT 2 05
579 LE BRAS LOÏC FRA CACHACA SERIE TIP TOP MANUARD 05
587 ABEL Andy USA PEPEN SERIE POGO 2 FINOT 05
602 ROSEN JACOBSON Robert NED NED602 SERIE POGO 2 FINOT 06
603 LACAZE Philippe FRA ISTUARDO SERIE POGO 2 FINOT 06
636 MADEN RUIZ Jorge ESP CASIO G-SHOCK SERIE TIP TOP MANUARD 06
663 VERBEKE Benoit FRA GULLY-VERT SERIE ZERO LOMBARD 07
697 FRANCOIS Amaury FRA www.amauryfrançois.com SERIE POGO 2 FINOT 07
708 ROBIN Fabienne FRA PLUME D'ANGE SERIE ROLLAND DINGO 2 2008
733 VERTES Marc FRA LES AMIS DE LA TERRE KOKOPELLI SERIE POGO 2 FINOT 08
737 PAMIR Tolga TUR YAKAMOZ SERIE D2 ROLLAND 08
746 CIZEAU Pierre FRA COLIBRI SERIE D2 ROLLAND 08
757 ARCHIN Brendan FRA ASSOCIATION LA TOULINE SERIE D2 ROLLAND 09
774 OGER Jean-Marie FRA JMO SAILING SERIE POGO 2 FINOT 09
La liste des prototypes lundi 3 mai :
36 DENJEAN Pierre FRA OUFTI FAUROUX 91
252 FINN Ryan USA MYRNA MINKOFF PROTO FINOT 99
265 MARETTE Paul FRA REGION NORD PAS DE CALAIS PROTO MAGNEN-NIVELT 99
417 DUCROZ Aurélien FRA NISSAN PROTO LOMBARD 02
509 SCHRODER Lucas NED BANZAI PROTO MANUARD 04
551 PATOU Henri FRA ECARTIP PROTO MANUARD 05
618 MONTAGNE Lucas FRA ONG CONSEIL FINOT CONQ 2006
625 MASEKOWITZ Henrik GER CARIBOU CANIVENC 2006
679 DAVID Etienne SUI TEAMWORK PROTO MANUARD 07
716 ROGUES Sébastien FRA EOLE GENERATION - GDF SUEZ PROTO LOMBARD 08
719 BOIDEVEZI Nicolas FRA DEFI G.D.E. PROTO BERTRAND 08
721 CHOMBART de LAUWE Pascal FRA XANLITE NACIRA NACIRA DESIGN 08
747 RAISON David FRA MAGNUM RAISON 09
753 RIECHERS Jorg GER MARE.DE PROTO BERTRAND 09
759 KOLACEK Milan CZE FOLLOW ME PROTO MANUARD 09
785 ASTIER Alban FRA SEANERGY NACIRA NACIRA DESIGN 09
787 NORMAND Thomas FRA FINANCIERE DE L'ECHIQUIER PROTO MANUARD 10
La liste des bateaux de série lundi 3 mai :
230 BERTRAND Serge FRA MINIMUM SERIE POGO 1 ROLLAND 98
446 RENAUD Emmanuel FRA KOATI SERIE POGO 2 FINOT 03
452 REYNIS Benoit FRA AL DENTE SERIE POGO 2 FINOT 03
464 ALLAIRE Jean-Marc FRA BAKER TILLY - AG2R LA MONDIALE SERIE POGO 2 FINOT 03
472 MACAIRE Xavier FRA STARTER SERIE POGO 2 FINOT 03
473 GERCKENS Jonas BEL PragmaWork SERIE POGO 2 FINOT 03
480 COLMAN Conrad NZL COLMAN COURSE AU LARGE SERIE POGO 2 FINOT 04
481 PILATO Vincent FRA MCOM SERIE POGO 2 FINOT 03
483 LE PAUTREMAT Yann FRA As de Cœur - Mécénat Chirurgie Cardiaque SERIE POGO 2 FINOT 04
486 AMALRIC Benoit FRA TCHAO SERIE POGO 2 FINOT 04
488 ORTI Nacho ESP NACHO ORTI BUSCA SPONSOR SERIE POGO 2 FINOT 04
518 DENIS François FRA PASSION D'AVRIL SERIE POGO 2 FINOT 04
539 LAURIERE Benoit FRA KALONIG 2 SERIE POGO FINOT 2 05
579 LE BRAS LOÏC FRA CACHACA SERIE TIP TOP MANUARD 05
587 ABEL Andy USA PEPEN SERIE POGO 2 FINOT 05
602 ROSEN JACOBSON Robert NED NED602 SERIE POGO 2 FINOT 06
603 LACAZE Philippe FRA ISTUARDO SERIE POGO 2 FINOT 06
636 MADEN RUIZ Jorge ESP CASIO G-SHOCK SERIE TIP TOP MANUARD 06
663 VERBEKE Benoit FRA GULLY-VERT SERIE ZERO LOMBARD 07
697 FRANCOIS Amaury FRA www.amauryfrançois.com SERIE POGO 2 FINOT 07
708 ROBIN Fabienne FRA PLUME D'ANGE SERIE ROLLAND DINGO 2 2008
733 VERTES Marc FRA LES AMIS DE LA TERRE KOKOPELLI SERIE POGO 2 FINOT 08
737 PAMIR Tolga TUR YAKAMOZ SERIE D2 ROLLAND 08
746 CIZEAU Pierre FRA COLIBRI SERIE D2 ROLLAND 08
757 ARCHIN Brendan FRA ASSOCIATION LA TOULINE SERIE D2 ROLLAND 09
774 OGER Jean-Marie FRA JMO SAILING SERIE POGO 2 FINOT 09
David Prono ne partira pas
David Prono ne prendra pas le départ de ce Mini Pavois. Il était en classement série et partait sur un Zéro de 2008 (plan Lombard).
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