Lucas Montagne (618 - Ong Conseil) : "On a eu des conditions musclées surtout au départ et juste après... Mais c'était le pied sur ce bateau là ! Le bateau donne des ailes, il donne envie de se dépasser et il va vite. Il faut tout faire dans l'ordre, c'est sûr... J'ai plutôt lever le pied même. Il faut y aller tout en douceur, il est très sensible et j'aime cela. Cela correspond bien à ma façon de naviguer. Si la première partie s'est bien passée, j'ai mal négocié la transition à l'arrivée. Mais bon, on apprend toujours ! C'était ma première course en solitaire sur ce bateau et au final, c'est plutôt pas mal, je m'y sens vraiment bien, je suis pleinement content !"
Etienne David (679 - Team Work) : "Je suis déçu en bien... C'est clair que j'ai des tas de trucs à apprendre. Cela change vraiment de ce que je connaissais ces bateaux ! Ils sont furieux devant... J'ai fait des tas de trucs bizarre mais bon, j'apprends... et je sais qu'il y a des choses que je ne ferai plus ! Mais c'était bien quand même... Une bien belle expérience !".
Henri Patou ( 551 - Ecartip) : "Cela a été sportif... Il y a eu des moments dans la nuit noire dont je me rappellerais ! Sous pilote, accroché à la bastaque, avec des surfs de folie... Je n'en menais pas large, j'avoue. Mais bon, c'est extra ! Cela restera un grand moment... J'ai eu aussi mon lot de problèmes avec 300 litres d'eau dans l'habitacle. C'est par le puit de quille que l'eau est remontée. Et je ne l'avais pas vu... C'est à un moment, j'ai passé la tête à l'intérieur et il y a avait de l'eau jusqu'à la moitié des batteries ! Tout était trempé à l'intérieur. Tout y est passé, mes papiers, ceux du bateau..."